Aucun acte de bienveillance ou d’amour n’est jamais perdu.
La vie se charge de tout nous rendre au centuple,
pas forcément de la même manière dont nous le pensons, ou le faisons.
Sachons juste que nous sommes toujours hautement récompensés
pour tout acte empreint de bonté.
Sa vie, on la gère, on ne la subit pas.
Sois prêt à accueillir ce qui se présente à toi au quotidien.
Ce qui compte, à dire vrai, c’est la façon dont tu perçois les évènements,
ta capacité à rebondir à toute épreuve
afin que tu ne sois pas le joujou des circonstances
mais bel et bien l’acteur et le maître de ta vie.
« La vie, c’est l’amour, l’entraide, la joie, la bonne humeur, la liberté d’être. »
« Il faut ÊTRE, pour pouvoir FAIRE, et AVOIR.
Nous sommes des êtres humains, non des « faire humain » et encore moins des « avoir humain ».
Restons qui nous sommes à l’origine.
En effet, nombreuses sont les personnes qui se préoccupent de faire
ou d’avoir beaucoup de choses et oublient tristement qui elles sont. !
Nathy Labell
Si j’ai appris quelque chose de la vie, c’est que parfois, les moments les plus sombres de la vie
peuvent nous mener aux endroits les plus lumineux.
J’ai appris que les personnes les plus toxiques peuvent nous apprendre les leçons les plus importantes.
Que nos luttes les plus douloureuses peuvent nous donner le plus grand des apprentissages et que les pertes d’amitié et d’amour les plus déchirantes peuvent faire place aux plus merveilleuses des rencontres.J’ai appris que ce qui semble être une malédiction dans l’instant peut être en réalité une bénédiction et que ce qui semble être la fin du chemin est en réalité la découverte que nous sommes censés emprunter un autre chemin.
J’ai appris que même si les choses semblaient difficiles, il y avait toujours de l’espoir. Et j’ai appris que même si nous nous sentons impuissants et que les choses semblent horribles, nous ne pouvons pas abandonner.Nous devons continuer... Même lorsque cela fait peur, même lorsque toutes nos forces semblent épuisées, nous devons continuer à nous relever et à aller de l’avant, car quoi que nous combattions dans l’instant, cela passera, nous passerons au travers et nous réussirons.
Nous avons réussi jusque-là. Nous pouvons survivre à tout ce qui vient ensuite.
~ Daniell Koepke
La résilience c’est fleurir dans une terre aride
Ou après un hiver long et rigoureux.
Autour de nous il y a de nombreux résilients silencieux
Comme celui qui a survécu à une grave maladie
Ou qui a repris sa vie en main après un traumatisme incroyable
Un être résilient,
C’est quelqu’un qui ne s’est pas laissé abattre par les épreuves
Mais qui est devenu plus fort grâce à elles.
C’est un combattant courageux qui se tient debout
Alors que d’autres finiraient par baisser les bras.
C’est un enfant maltraité qui devient un adulte droit
Et compatissant à la douleur des autres.
C’est quelqu’un à qui on a dit de se taire toute sa vie
Et qui finit par prendre la parole, SA parole !
C’est un enfant du divorce et des conflits qui persiste
À croire à l’amour et au couple.
C’est l’oiseau à l’aile amochée qui réapprend à voler.
Nous sommes tous des êtres résilients
Nous avons survécu à nos propres guerres !
Souvenons- nous en lorsque nous rencontrerons une autre épreuve
Nous sommes capables de survivre
Nous l’avons déjà fait !
Auteure Diane Gagnon
L'autre ne nous blesse pas : Il nous révèle simplement que nos plaies n'étaient pas guéries.
Nous avons cru que la rencontre avec un autre nous avait guéris.
C'était une illusion, car la guérison ne vient jamais de l'extérieur, Mais toujours de l'intérieur.
La relation avec l'autre est donc pour nous un révélateur De nos manques et de nos souffrances cachées.
Croire qu'une relation, quelle qu'en soit la nature, peut nous faire oublier nos manques et nos souffrances est un leurre.
Cela conduit inévitablement à la déception.
En revanche, si nous envisageons nos relations avec les autres comme une opportunité de nous connaître, nous pourrons commencer à combler nos besoins et guérir nos blessures.
Tant que nous nous berçons de l'illusion que l'autre possède la clé de notre bonheur, nous restons dans un état de dépendance.
L'autre représente une drogue dont le sevrage nous est intolérable.
Le manque réveille notre souffrance, notre crainte et donc notre colère.
Par Thierry Janssen
Une pensée pour mes ami(e)s qui traversent en ce moment l'épreuve du deuil
Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent.
Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ?
Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe.
Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ?
Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque.
Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ?
Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle.
Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ?
L’Arbre et la graine » – Benoît Marchon
On dit que le temps arrange tout, il suffit de l’attendre.
Mais qu’il est donc lent, le temps de l’attente.
L’attente de l’ami, qu’on a pas vu depuis longtemps.
L’attente des secours, quand survient l’accident.
L’attente de la guérison, quand s’éternise la souffrance.
L’attente du soleil, quand tarde le printemps.
L’attente de la compassion, quand dure l’indifférence.
L’attente du pardon, pour une lointaine offense.
Pourtant, il suffit qu’on l’oublie, le temps.
Quand arrive l’ami qu’on attendait depuis longtemps.
Que se réveillent les souvenirs d’antan.
Et qu’on déroule les histoires du bon vieux temps.
Il en profite pour nous échapper et galoper, le temps.
Et quand vient le temps d’aller voir où en est le temps,
On s’aperçoit qu’il a filé comme le vent, le temps.
Et qu’on ne peut le rattraper, le temps.
On a parfois envie de l’emprisonner dans les bons moments.
Mais lent ou rapide, on ne peut l’arrêter de passer, le temps.
Puis quand vient le temps de disposer de notre temps,
On voudrait arrêter, histoire de regarder passer le temps.
Mais on se lasse vite à ne faire que regarder passer le temps.
Alors on proposera à un ami, à qui il ne reste que peu de temps,
De l’accompagner jusqu’au bout de son temps.
On répondra à l’enfant qui nous demande un peu de temps,
Que pour lui, on a tout notre temps.
En espérant que, quand il ne nous restera que peu de temps,
Quelqu’un aura pour nous, un peu de temps.
(Martial Nouveau)
Octobre annonce déjà l’automne et la vie pour certains devient aussi automnale !
Comme les arbres qui perdent leurs feuilles, on se dépouille de ce qui nous encombre. Nous tendons vers l’essentiel en acceptant le dépouillement.
Que de beaux paysages nous offre Octobre et bientôt l’automne. Des couleurs chaudes, tantôt or ou cuivré. C’est magnifique ! J’aime cette saison.
La nature sent bon et la fraîcheur s’installe.
Combien les saisons nous enseignent une grande sagesse !
Elles nous invitent à vivre chaque étape de notre vie en goûtant au bonheur qui s’y cache !
Lucia Galb
Marcher, c'est aller au bout de soi-même tout en allant au bout du monde.
C'est redécouvrir l'homme qui prenait ses jambes à son cou lorsque le ciel lui tombait sur la tête.
C'est geler en même temps que les pierres du chemin.
Griller au feu du soleil. Partir à l'aube en pleine forme pour revenir sur les genoux en pleine nuit.
Marcher, c'est rencontrer des créatures qu'on ne verrait nulle part ailleurs.
Marcher, c'est aussi aller nulle part sans rencontrer personne.
C'est se mettre en vacances de l'existence. C'est exister en dehors des vacances.
Marcher, c'est réussir à dépasser son ombre.
C'est pouvoir se doubler soi-même en s'envoyant un gentil salut au passage.
Marcher, c'est caresser le sol, le flatter, l'amadouer.
Une manière de se mettre la terre dans la poche avant qu'elle ne se referme à jamais.
Marcher, c'est être dans le secret des dieux.
C'est écouter à leurs oreilles et entendre avec eux des bruissements,
des murmures qu'on croyait éteints.
Marcher, c'est se mêler à la conversation des arbres, aux commérages des oiseaux, aux persiflages des reptiles.
C'est se fondre dans la nature, se couler au fond du moule.
Marcher, est-ce que cela ne serait pas, en définitive, tourner avec ses pieds, au pas à pas,
page après page, le grand livre de la vie ?
Jacques Lanzmann
****
Walk is to go to the end of oneself while going to the end of the world.
It's rediscovering the man who took to his heels when the sky fell on his head.
It is to freeze at the same time as the stones of the path. Grill over the heat of the sun. Leaving at dawn in great shape to return to your knees in the middle of the night.
Walk is to meet creatures that you would not see anywhere else. Walking is also going nowhere without meeting anyone.
It's taking a vacation from existence. It is to exist outside the holidays.
Walk is to succeed in passing one's shadow. It's being able to double yourself by sending each other a nice greeting as you pass.
Walk is to caress the ground, to flatter it, to coax it. A way to put the earth in your pocket before it closes forever.
Walk is to be in the secret of the gods. It's listening to their ears and hearing with them rustlings, murmurs that we thought were extinguished.
To walk is to mingle with the conversation of the trees, the gossip of the birds, the taunts of the reptiles. It's blending into nature, sinking into the bottom of the mould.
Walking, wouldn't that ultimately be turning with one's feet, step by step, page after page, the great book of life?
Le manque d’amour de soi Cet amour fait de bienveillance, de respect a des conséquences directes sur nos relations avec autrui. Il se traduit par un manque de confiance, des doutes et de la méfiance qui vont générer ou entretenir soit des relations à base d’appropriation et de possessivité, soit des relations de type persécuté-persécutant.
Si je ne m’aime pas, je ne pourrai pas aimer,puisque je serai dans le besoin et l’exigence d’être aimé.
Dans le manque d’amour de soi, on est toujours,ou dans le « demander-exigence », ou
dans le « refuser, parce que pas assez ».
Dans les deux cas de figure, on a une grande difficulté à donner.
Lorsque l’on ne s’aime pas, on pense que l’on n’a rien à donner de valable et d’intéressant,
et lorsque l’on donne, on a le sentiment d’être dépossédé,
par une sorte d’équation inconsciente d’avoir "un moins" en soi.
Jacques Salomé
Avril, aux petits matins frileux encore
Aux jours pluvieux qui prolongent l’hiver
Protège les bourgeons qui peinent à éclore
Laisse la belle nature se parer de vert
Laisse- la se colorer et donne de la joie
Aux oisillons qui dans leurs nids frissonnent
Perchés sur les branches ou le haut des toits
Sous un ciel noir courroucé et qui tonne
Provoquant l'envol des oiseaux affolés
Ô Avril ! Donne- nous ardeur et sourire
Fais croitre les grains de blés déjà semés
Que l’amour renaisse nous irons le cueillir
Ô Avril ! Beau mois de la Renaissance
Vois les malheureux qui tremblent d’effroi
Ouvre grand tes portes à l’Espérance
Pour que le monde vive ou renaisse à la foi
Lucia Galb
Quand j’ai poussé la grille du jardin
L’air était doux, léger ce matin
Oh je les attendais ces beaux jours
Que la nature prépare avec amour !
Libérées de leurs robes d’hiver
Les fleurettes dansent à la lumière
Tu m’as invitée à prendre ta main
Près de l’allée où pousse le jasmin
Nous avons longuement bavardé
Traversant les prés couverts de rosée
Le vent jouant dans ma chevelure d’or
A caressé et pénétré mon corps
Il est arrivé ce joyeux printemps
Et les oiseaux nous ravissent de leur chant
Porté par le zéphyr, le papillon
Aux ailes frêles irisées de marron
S’enivre du calice des fleurs
Goulument s’abreuve de leur odeurLà , ton corps m’étreint et je souris
L’un de l’autre, toujours épris
@Lucia Galb
When I pushed open the garden gate
The air was soft, light this morning
Oh I was waiting for these beautiful days
That nature prepares with love!
Freed from their winter robes
The flowers dance in the light
You invited me to take your hand
Near the alley where the jasmine grows
We chatted for a long time
Walking towards the dewy meadows
The wind playing in my golden hair
Caressed and penetrated my bodyIt's come this happy spring
And the birds delight us with their song
Carried by the zephyr, the butterfly
With frail iridescent brown wings
Gets drunk on the chalice of flowers
Greedily drinks from their scent
there your body embraces me and I smile
Each other, always in love @Lucia Galb
Le manque
« L’humain » est souvent prisonnier d’un sentiment de manque.Manque d’amour, manque de tendresse maternelle,
manque du regard paternel, etc…
Pour exister à ses propres yeux et aux yeux des autres, il lui faudra plus d’amour.
Il peut être déçu, se sentir nul à cause de ce qu’il n’a pas.
C’est un mélange d’orgueil et de sentiment de ne rien valoir.
Ce sentiment de manque s’accentue dans le temps et fait ressentir
la douleur de tout ce qui n’est pas comblé.
L’attente de cette manifestation d’amour s’exprime alors par un sentiment de déception,
de dévalorisation de soi. Et devient l’objet de sa préoccupation.
Comment » l’homme « peut- il sortir de cette ornière ?
* Il lui faut, en premier lieu, reconnaître que d’avoir reçu la vie est un cadeau précieux.
* Il lui faut réaliser que le don de la vie lui a été donné personnellement.
Cela lui appartient.
A partir de là, il est lui est possible de développer un sentiment de gratitude,
de reconnaissance. Et il peut commencer à bâtir une espérance, se mettre en action.
Certes, la vie a pu commencer par une plaie ouverte, un manque.
C’est le cas pour beaucoup comme cela put l’être pour moi-même.
Il faut donc bien partir de là où nous sommes, ainsi s’approcher de la Source pour y boire.
C’est là que Dieu nous rejoint.
Il rejoint l’humain dans un amour qui donne à naître.
Un amour pour la vie que chaque être porte en soi.
Quand notre esprit, notre coeur le saisit,
le manque n’est plus au centre de notre préoccupation .
Ce qui n’exclura pas les difficultés et les inquiétudes.
Mais c’est un point d’appui solide et vrai
Nous regardons alors nos manques autrement,
ne remettant pas notre existence, ni notre valeur en cause. Mais plutôt comme des plaies à guérir !
Lucia Galb (méditation du jour)
Ce n’est pas ta belle allure qui m’attire
Ce n’est pas ton fric dans ta tire lire
Ce n’est pas non plus ce projet un peu fou
Auquel tu rêves en disant c’est bien pour nous
Ce n’est pas ton intelligence, ni ton savoir
Ni ces souvenirs que je garde en mémoire
Ce ne sont pas les années passées ensemble
Ni les enfants qui très souvent nous rassemblent
Non ! Rien de tout cela ne m’attire à toi !
C’est ton cœur que j’aime, qui me met en émoi
C’est ton regard posé sur moi au fil des ans
Ton amour me remplit, me comble pleinement !
Ce n’est pas la richesse qui fait mon bonheur
La gentillesse, l’écoute et la douceur
C’est bien cela qui m’attire toujours plus à toi
Je t’aime de tout mon être, tu es parfait pour moi !
Lucia Galb
La vie est bien trop courte Pour perdre son temps à se faire une place
Là où l’on n’en a pas Pour démontrer qu’on a ses chances
Quand on porte tout en soi Pour s’encombrer de doutes
Quand la confiance est làPour prouver un amour à qui n’ouvre pas les bras Pour performer aux jeux de pouvoir quand on n’a pas le gout à ça
Pour s’adapter à ce qui n’épanouit pas.
*
La vie est bien trop courte pour la perdre à paraître
S’effacer, se plier, dépasser, trop forcer
Quand il nous suffit d’être Et de lâcher tout combat
Que l’on ne mène bien souvent qu’avec soi
Pour enfin faire la paix, être en paix
*
Et vivre
En faisant ce qu’on aime
Auprès de qui nous aime
Dans un endroit qu’on aime
En étant qui nous sommes
Vraiment !
Alexandre Jollien
The years that pass are like the pages of a book of life ...
Each of the pages is a piece of our history
That you have to turn gently without damaging it
This year 2022
That opens to us is a blank page
To be filled with wisdom, love and harmony
That must also be filled with friendship
Beautiful sharing and comforting good words
I wish everyone a very happy new year 2022
May Love and Peace spread through our hearts
And spread over the whole earth
How Divine Love is pouring out over us!
Noviembre ! ¡Qué hermoso fue ese día!
Un día lluvioso y brumoso
El otoño ya acortaba nuestros días
Y una espesa capa de niebla
Escondió el paisaje montañoso
Me sentí tan ligera como una pluma
Con nada solo un corazón lleno de esperanza
Estaba esperando sin saber muy bien
Que tu cambiarias mi vida
A pesar del clima gris, lluvioso
Habíamos ido a subir a las alturas
Luego regresó al anochecer
Como niños helados de frío
al lado del fuego, calentamos nuestros corazones
En la profundidad de tus grandes ojos
Me perdí y me ahogué en ti
Vi la fuerza de un alma amorosa
Desde ese día de Noviembre, ¡te amo!
Par cet amical message
je vous souhaite une bonne rentrée!
J’espère que votre retour de vacances n’est pas trop difficile
Et que vous avez passé de reposantes vacances
J’espère également que chacun de vous retrouvera son rythme imposé
par l’activité professionnelle et autres activités Lucia Galb
“Le sage se dépêche de pardonner parce qu’il connaît la vraie valeur du temps et qu’il ne supporte pas de passer ce temps dans des souffrances inutiles» Samuel Johnson
Suite au dernier article « je veux oublier », beaucoup de commentaires ont mis l’accent sur le pardon.
Sachant que c’est une des clés pour être libéré il s’ensuit cette réflexion.
En effet » pardonner » signifie relâcher ou mettre en liberté.
Mais pourquoi pardonner si l’offenseur ne reconnait pas ses torts ?
Quand il y a absence de pardon, amertume et ressentiment gagnent le cœur, rongent de l’intérieur. De plus il y a un énorme gaspillage d’énergie à ressasser, se justifier, tenter de comprendre. On rumine, les pensées tournent en boucle ….Le désir de vengeance peut aussi atteindre une grande intensité, engendrer le pire des sentiments : la haine. Nous souffrons et notre douleur fait souffrir notre entourage.En refusant de pardonner on enlève également à l’offenseur la possibilité d’être libéré et de poursuivre son chemin
Après avoir pardonné est-il possible de vivre une réconciliation ?
La réconciliation n’est pas toujours possible. Certaines personnes ne se remettent pas en question .Il faut beaucoup d’humilité pour reconnaître ses torts, accepter d’avoir blessé l’autre peut être même sans le savoir.
Pardonner n’efface pas la mémoire, ne gomme pas les cicatrices. On peut continuer à souffrir encore car c’est un long cheminement vers la guérison.
Le pardon est la victoire de l’amour, l’avènement d’une paix plus forte que toutes les souffrances.
El perdón.El sabio se apresura a perdonar porque conoce el verdadero valor del tiempo y no puede soportar pasar ese tiempo en sufrimientos innecesarios "Samuel Johnson
Después del último artículo "Quiero olvidar", muchos comentarios se centraron en el perdón.
Sabiendo que esta es una de las claves para ser liberados, siguió esta reflexión.
En efecto "perdonar" significa liberar o dejar en libertad.Pero, ¿por qué perdonar si el ofensor no admite sus errores?
Cuando falta el perdón, la amargura y el resentimiento se apoderan del corazón, mordiéndolo desde dentro. Además, hay un enorme derroche de energía en refrito, justificarse, intentar comprender. Rumiamos, los pensamientos corren en un bucle….
El deseo de venganza también puede alcanzar una gran intensidad, generando el peor de los sentimientos: el odio. Sufrimos y nuestro dolor hiere a quienes nos rodean.
Negarse a perdonar también priva al delincuente de la posibilidad de ser liberado y de continuar su camino.Después de perdonar, ¿es posible experimentar la reconciliación?
La reconciliación no siempre es posible. Algunas personas no se cuestionan a sí mismas. Se necesita mucha humildad para admitir sus errores, aceptando que has herido a otra persona incluso sin saberlo.
El perdón no borra la memoria, no borra las cicatrices. Podemos seguir sufriendo más porque es un largo camino hacia la recuperación.El perdón es la victoria del amor, el advenimiento de una paz más fuerte que todo sufrimiento.
Lucía Galb
A menudo tengo este extraño sueño
De una extraña que se parece a ella
A veces sus miradas me molestan
Otras veces somos tan bien juntas
Cuando en el hueco de mi hombro
En mis sueños esta cabeza desconocida
De mi angustia ya no tengo el monopolio
Me siento sorprendida
A veces es su mirada dulce y benevolente
Que me perturba y me toca mi alma
Una mirada tierna que dice te amo mamá
¡Así que me gustaría quedarme con esta mujer!
Mon cœur fragile comme les ailes de l’oiseau
Que brisent les courants
Bat au rythme des jours voilés de nuages
Des jours maussades et solitaires
Que seul le vide remplit de son air
Dans un ciel immense planent mes idées
Et tout droit, tombent dans l’abime du silence
Mon soleil s’efface puis disparait
Déployant ses larges rayons vers un autre jour
Pourtant j’avais vu de la joie dans tes yeux étoilés !
Il est des douleurs
De celles qui vous brisent
Qui , de joie vous privent
Et rongent votre esprit !
De celles que l’on porte en soi
Qui saignent et ne se voient pas !
Nul ne peut comprendre
Nul ne peut apaiser
Ces douleurs là sont si personnelles
Fonction du seuil limite propre à chacun
Certains vous diront qu’ils ont une force
Intérieure pour les combattre
C’est tout à leur honneur !
D’autres différents habitent leur douleur
Certes, ils sont vivants
Paraissent joyeux en surface
Bien qu’à l’intérieur, ils soient meurtris
Gardant au fond du cœur la douleur captive
Une plaie toujours ouverte, vive
Ils en sont presque complices
Comme avec un animal qu’on apprivoise!
Ne soyez pas trop critiques envers ceux qui souffrent
Quand vous ignorez de quoi demain sera fait
Le malheur pourrait bien vous atteindre
Et, à votre tour ne cesseriez de geindre !
L’amour doit fleurir à l’intérieur de soi
Pour pouvoir se répandre
C’est quand je me retrouve moi –même
Dans un état de profonde plénitude
Quand mon cœur est pleinement rempli
De l’Amour Inconditionnel
Que je peux vraiment aimer
C’est comme une coupe remplie qui déborde
Alors Aimer est le plus beau cadeau que je puisse offrir
Sans aucune attente de l’autre
Et c’est ainsi qu’il me viendra en retour
Je profite pour vous souhaiter de bonnes vacances
Dans la paix et dans l’amour
Il est temps pour moi de faire une pause
Lucia Galb
***
Love is blooming inside Yourself
To spread
When I found myself
In a deep state of fullness
When my heart is filled
Of unconditional love
Then, I can love
It’s like a cup overflowing
Love is the greatest gift that I can offer
Without waiting for the other
And so, it comes back to me in return
It is time for me take a break
I wish you good holidays
With Peace, Light and Love
J’ai longtemps nié ton existence
L’idée que Tu pouvais être bon pour moi
Dépassait mon intelligence
Pourtant, souvent Tu as frappé
A la porte de mon cœur
Je ressentais alors quelque chose d’étrange
Une agitation intérieure inexplicable
Au tréfonds de tout mon être
Je comprenais bien que c’était surnaturel
Mon orgueil me laissait sourde à cet appel
Je sombrais peu à peu
Dans un grand trou noir…
Du vide tout autour
Du vide surtout en moi !
Par Amour,
Tu as toujours fait le premiers pas
Avec tendresse, Tu t’es approché de moi
Ton Oreille attentive entendait
Ces cris étouffés sortant de ma poitrine
Tu m’as tirée des griffes de la mort
Comme une mère douce et tendre
Comme un Père aimant et protecteur
Tu m’as consolée, restaurée et relevée
Mettant un baume sur mes plaies
Tu m’as appelée « fille bien-aimée »
Ô Dieu ! C’est Toi qui m’as aimée le premier !
Et moi, je n’ai plus cherché à fuir Ton Amour
Par Toi et en Toi je Vis !
Déjà Novembre, le ciel se couvre de brumes
Au loin, l’oiseau s’envole laissant tomber ses plumes
Légères comme ces feuilles qu’emporte le vent
Son souffle froid perce l’air rageusement !
Au cœur de la forêt, la belle nature s’endort
Offrant des feuilles roussies et du bois mort
Craquements sous les pas alertes du chasseur
Son tir atteint le cerf qui aux pieds du chêne, meurt
La pluie comme des larmes coulent sur le pavé
Celles que déverse le ciel maintenant courroucé
Mon âme s’imprègne d’une langueur inexpliquée
L’hiver frôle mon corps, si loin est l’été !
Je perçois derrière la vitre de ma chambre
Ton sourire qui réchauffe ce froid de Novembre
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