Aucun acte de bienveillance ou d’amour n’est jamais perdu. La vie se charge de tout nous rendre au centuple, pas forcément de la même manière dont nous le pensons, ou le faisons. Sachons juste que nous sommes toujours hautement récompensés pour tout acte empreint de bonté. Sa vie, on la gère, on ne la subit pas. Sois prêt à accueillir ce qui se présente à toi au quotidien. Ce qui compte, à dire vrai, c’est la façon dont tu perçois les évènements, ta capacité à rebondir à toute épreuve afin que tu ne sois pas le joujou des circonstances mais bel et bien l’acteur et le maître de ta vie. « La vie, c’est l’amour, l’entraide, la joie, la bonne humeur, la liberté d’être. » « Il faut ÊTRE, pour pouvoir FAIRE, et AVOIR. Nous sommes des êtres humains, non des « faire humain » et encore moins des « avoir humain ». Restons qui nous sommes à l’origine. En effet, nombreuses sont les personnes qui se préoccupent de faire ou d’avoir beaucoup de choses et oublient tristement qui elles sont. ! Nathy Labell
Si j’ai appris quelque chose de la vie …
Si j’ai appris quelque chose de la vie, c’est que parfois, les moments les plus sombres de la vie peuvent nous mener aux endroits les plus lumineux. J’ai appris que les personnes les plus toxiques peuvent nous apprendre les leçons les plus importantes. Que nos luttes les plus douloureuses peuvent nous donner le plus grand des apprentissages et que les pertes d’amitié et d’amour les plus déchirantes peuvent faire place aux plus merveilleuses des rencontres. J’ai appris que ce qui semble être une malédiction dans l’instant peut être en réalité une bénédiction et que ce qui semble être la fin du chemin est en réalité la découverte que nous sommes censés emprunter un autre chemin. J’ai appris que même si les choses semblaient difficiles, il y avait toujours de l’espoir. Et j’ai appris que même si nous nous sentons impuissants et que les choses semblent horribles, nous ne pouvons pas abandonner. Nous devons continuer... Même lorsque cela fait peur, même lorsque toutes nos forces semblent épuisées, nous devons continuer à nous relever et à aller de l’avant, car quoi que nous combattions dans l’instant, cela passera, nous passerons au travers et nous réussirons. Nous avons réussi jusque-là. Nous pouvons survivre à tout ce qui vient ensuite. ~ Daniell Koepke
Lui
Lui qui ne chercha pas à être l‘égal Ni même le rival De son père l’Eternel Dieu Nous ouvrit les portes des Cieux Humblement, Il s’est abaissé Lui, Fils de l’Homme Pour servir tous les hommes Il aimait jouir de la vie Boire de la vigne, le bon vin Avec le pauvre partager le pain Et tout autour de lui Il faisait le bien Inlassablement parcourait les contrées Vivant comme un nomade Il guérissait les malades Et les âmes tourmentées Il savait d’avance quel sort Quelle fin lui serait réservée ! O Ennemi à vaincre ! La mort ! Seul, Il pria ce fameux soir Mais cette coupe à boire Ne lui fut point épargnée Crucifié sur cet infâme bois En un cri, Il expira sur la croix ! Oh ! C’est pourquoi Christ, notre frère en humanité Notre Sauveur a été élevé Au plus haut rang Au rang des Grands ! Et que dès lors, son nom Est au -dessus de tout "Nom" À la gloire du Père ! ©Lucia Galb
La résilience
La résilience c’est fleurir dans une terre aride Ou après un hiver long et rigoureux. Autour de nous il y a de nombreux résilients silencieux Comme celui qui a survécu à une grave maladie Ou qui a repris sa vie en main après un traumatisme incroyable Un être résilient, C’est quelqu’un qui ne s’est pas laissé abattre par les épreuves Mais qui est devenu plus fort grâce à elles. C’est un combattant courageux qui se tient debout Alors que d’autres finiraient par baisser les bras. C’est un enfant maltraité qui devient un adulte droit Et compatissant à la douleur des autres. C’est quelqu’un à qui on a dit de se taire toute sa vie Et qui finit par prendre la parole, SA parole ! C’est un enfant du divorce et des conflits qui persiste À croire à l’amour et au couple. C’est l’oiseau à l’aile amochée qui réapprend à voler. Nous sommes tous des êtres résilients Nous avons survécu à nos propres guerres ! Souvenons- nous en lorsque nous rencontrerons une autre épreuve Nous sommes capables de survivre Nous l’avons déjà fait ! Auteure Diane Gagnon
Bonne journée de la femme !
Aujourd’hui nous célébrons la femme A sa puissance féminine, Nous rendons hommage ! Hommage à tout ce chemin qu’elle parcourt depuis toujours!
Femme ! La vie commence par toi Tu en es porteuse, tu la donnes Par ton courage, ta ténacité Ta persévérance, ta patience Ton pouvoir de résilience Et par tes sourires Tu la rends plus belle encore Pour ceux qui te côtoient Les larmes sont souvent ton lot Et le sacrifice ne t’ai point étranger Ton cœur est un océan de secrets Une immense vague de tourments Il est don, Amour et pardon… Tes silences sont des prières secrètes Tes mains apaisantes procurent le bien-être Femme ! Ta beauté de coeur est parfaite ! Ta silhouette qui ondule est fascinante Et tes regards parfois chavirent les sens Ton sein est ce havre de paix Un doux refuge où l’on se sent aimé ©Lucia Galb
Quand !!
Nous sommes fortement enclins à attendre quelque chose. Attendre le résultat d’un examen, ou d’un acte ou d'un événement. Les yeux rivés sur leur aboutissement. Attendre quelque chose de différent, de meilleur, toujours projetés vers l'avenir…. On pense que tout changera quand ceci ou quand cela viendra ! Que représentent tous ces « quand » ? On peut escalader une montagne en ne songeant qu'à ce qu’on verra du sommet. Et ainsi on attend la pause au travail, la fin de la journée, le week-end, les vacances… On se dit : "Quand j'aurai rencontré l'âme sœur ça ira mieux ou Quand j'aurai plus d’argent... Quand j’aurai déménagé à la campagne... Quand j'aurai plus de temps... ! Ah ! Quand " il " ou "elle" était là prés de moi..! Que de « quand » et de « Ah! Si j'avais su ou des « c'était bien mieux avant ». Finalement, on ne vit pas, et puis les années passent. Le compte à rebours commence et on ne savoure pas la vie ou que très peu. Ce cadeau qui nous est offert et qui n'a pas de prix !... On ne prend pas vraiment plaisir aux choses simples de la vie telle la beauté d’un paysage. La couleur de l’aube ou d’un coucher de soleil. On n’accorde si peu d’intérêt à tous ces regards qui croisent le nôtre Et nous invitent à la rencontre, à la chaleur humaine ou une belle amitié. Essayons de prendre conscience que chaque acte peut devenir un véritable plaisir. Et que chaque geste peut devenir un vrai bonheur ! ©Lucia Galb
Toutes ces émotions
Toutes ces émotions à fleur de peau Qu’en faire ? Comment les gérer pour s’apaiser Quand on ressent une profonde angoisse Face à sa propre impuissance à changer les choses Quand l’inquiétude et l’incertitude du lendemain Envahissent tout notre être Et monopolisent toutes nos pensées Jour et nuit Quand on sait d’avance que seules les larmes Seront notre refuge, notre consolation Face à la tristesse Face parfois à la peur de l’inconnu Sans pouvoir entrevoir d’issue Avide de contact et d’apaisement Le corps réclame à cor et à cris Une douce consolation dans l’étreinte ©Lucia Galb
L’autre ne nous blesse pas
L'autre ne nous blesse pas : Il nous révèle simplement que nos plaies n'étaient pas guéries. Nous avons cru que la rencontre avec un autre nous avait guéris. C'était une illusion, car la guérison ne vient jamais de l'extérieur, Mais toujours de l'intérieur. La relation avec l'autre est donc pour nous un révélateur De nos manques et de nos souffrances cachées. Croire qu'une relation, quelle qu'en soit la nature, peut nous faire oublier nos manques et nos souffrances est un leurre. Cela conduit inévitablement à la déception. En revanche, si nous envisageons nos relations avec les autres comme une opportunité de nous connaître, nous pourrons commencer à combler nos besoins et guérir nos blessures. Tant que nous nous berçons de l'illusion que l'autre possède la clé de notre bonheur, nous restons dans un état de dépendance. L'autre représente une drogue dont le sevrage nous est intolérable. Le manque réveille notre souffrance, notre crainte et donc notre colère. Par Thierry Janssen
Bonne année 2023
Bonne année 2023 à vous ainsi qu'à ceux que vous chérissez Que cette nouvelle année vous apporte Bonheur, amour , joie et… une bonne santé ! ©Lucia
Te voilà
Te voilà Dès que je m’endors Tes ailes lumineuses comme l’Aurore Tout doucement se posent sur moi Oh ! Si près, te voilà ! Un souffle léger frôle mon oreille Comme l’ange gardien tu veilles Est-ce en songe ou bien en rêve Qu'alors que je t’aperçois Un parfum ancien comme l’encens Sur tout mon corps se répand Et il me semble comme Eve De Ton ombre et de Tes doigts Dans le Jardin d’Eden, naître Au plus profond de Toi, être © Lucia Galb
Quelqu’un meurt
Si la vie est limitée, l’amour lui est infini
Une pensée pour mes ami(e)s qui traversent en ce moment l'épreuve du deuilQuelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent. Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe. Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ? Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque. Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle. Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ? L’Arbre et la graine » – Benoît Marchon
Le Temps
On dit que le temps arrange tout, il suffit de l’attendre. Mais qu’il est donc lent, le temps de l’attente. L’attente de l’ami, qu’on a pas vu depuis longtemps. L’attente des secours, quand survient l’accident. L’attente de la guérison, quand s’éternise la souffrance. L’attente du soleil, quand tarde le printemps. L’attente de la compassion, quand dure l’indifférence. L’attente du pardon, pour une lointaine offense. Pourtant, il suffit qu’on l’oublie, le temps. Quand arrive l’ami qu’on attendait depuis longtemps. Que se réveillent les souvenirs d’antan. Et qu’on déroule les histoires du bon vieux temps. Il en profite pour nous échapper et galoper, le temps. Et quand vient le temps d’aller voir où en est le temps, On s’aperçoit qu’il a filé comme le vent, le temps. Et qu’on ne peut le rattraper, le temps. On a parfois envie de l’emprisonner dans les bons moments. Mais lent ou rapide, on ne peut l’arrêter de passer, le temps. Puis quand vient le temps de disposer de notre temps, On voudrait arrêter, histoire de regarder passer le temps. Mais on se lasse vite à ne faire que regarder passer le temps. Alors on proposera à un ami, à qui il ne reste que peu de temps, De l’accompagner jusqu’au bout de son temps. On répondra à l’enfant qui nous demande un peu de temps, Que pour lui, on a tout notre temps. En espérant que, quand il ne nous restera que peu de temps, Quelqu’un aura pour nous, un peu de temps. (Martial Nouveau)
Quitter
Image par Azmi Talib de Pixabay
Quitter c’est laisser, s’éloigner, rompre… Quitter ce peut être une nécessité, un besoin vital. Il arrive que l’on ressente au plus profond de soi , qu’un changement devient nécessaire pour se retrouver soi. Faire le point ou bien vivre de nouvelles expériences. Ce besoin de rompre avec tout ce qui nous semble néfaste est une invitation à se mettre en mouvement. Tant de choses peuvent ne plus nous convenir et nous aspirons à un changement ! • Rompre avec les habitudes par exemple qui entravent • Abandonner les lieux qui enferment • Se délester de fardeaux trop lourds. • Quitter ses sécurités aussi bien que ses peurs. • Quitter pour « être et devenir »… Il me faut parfois la quitter, cette route que je sais droite pour oser aller de l’avant . Explorer d’autres chemins. Pourvu que devant, la vie soit toujours mouvement, transformation, rencontre avec l’autre. Et pourquoi aussi pas la découverte d’un Dieu qui se ferait compagnon de route. Lui qui aurait pris la forme de tant de visages. Les traits d’un ami ayant consolé mes chagrins, des bras tendus m’ayant apporté du soutien. Alors le chemin emprunté m’aura façonné, peut -être même transformé de l’intérieur. Cela en vaut bien la peine d’oser quitter sa zone de confort. ©Lucia Galb
Il part
Image par Azmi Talib de Pixabay
Ah ! Si l’amour pouvait durer toujours… Il part … Elle reste là Brisée, sans aucun espoir De le revoir Fusent tous les souvenirs Gravés dans sa mémoire Coule un torrent de larmes Et elle a le vague à l’âme Il part… Sans un regard Ni même un au-revoir Inaccessible, il est si loin déjà Une autre l’aurait-elle enchainé ? Comme a fui l’été L’amour peu à peu s’en est allé ! Il part C’est peut être ailleurs Que se trouve son bonheur Et elle reste là Figée, sans voix Accrochée à ses souvenirs Suspendue à ces jours sans avenir Que restera- t-il de leur histoire Il est déjà trop tard ©Lucia Galb
S’émerveiller !
L'émerveillement est le propre de l’enfant. Un enfant s’arrête sur le chemin pour cueillir une fleur, ramasser un caillou, fixer le bleu du ciel, regarder, toucher l’écorce d’un arbre. Il s’émerveille de tout et marque un vif intérêt pour tout ce qui l’entoure. C’est avec émotion qu’il observe, écoute le chant d’un oiseau, entend le bruissement des feuilles sous ses pas.. C’est beau de pouvoir s’émerveiller ainsi comme un enfant et de ressentir au tréfonds de soi toutes ces émotions. L’étonnement, l’admiration, les sensations de bien- être et les senteurs d'un lieu. Tout cela nous rend tellement vivant ! L'émerveillement n’est pas seulement une émotion de l’instant, c’est aussi la capacité de l'être. L’être qui s’ouvre au monde, oui tant de choses nous échappent. Nous ne regardons pas assez et nous n'écoutons pas. Et si demain je commençais ma journée avec un autre regard. Le Créateur a placé en moi des portes qu’il me faut pousser pour y pénétrer. Il me faut juste les ouvrir pour être éblouie et me réjouir simplement par le phénomène de la vie. ©Lucia Galb
Octobre
Octobre annonce déjà l’automne et la vie pour certains devient aussi automnale ! Comme les arbres qui perdent leurs feuilles, on se dépouille de ce qui nous encombre. Nous tendons vers l’essentiel en acceptant le dépouillement. Que de beaux paysages nous offre Octobre et bientôt l’automne. Des couleurs chaudes, tantôt or ou cuivré. C’est magnifique ! J’aime cette saison. La nature sent bon et la fraîcheur s’installe. Combien les saisons nous enseignent une grande sagesse ! Elles nous invitent à vivre chaque étape de notre vie en goûtant au bonheur qui s’y cache ! Lucia Galb
La jeunesse est éternelle !
Il ne faut pas ajouter des années à la vie
Il faut ajouter de la vie aux années…
Aujourd’hui Je rentre dans le club des « septuagénaires » Je prends de l’âge ! Et oui !!! Mes petites filles très mignonnes Me questionnent Tu es vieille alors Maminou ? En réponse, je leur fais la moue ! Mes fifilles, mais non ! Voyez comme je cours après votre ballon Je danse. Je m’accroupis, Je saute jusqu’au plafond… Voyez comme la jeunesse brûle dans mon cœur De sa plus belle flamme La vieillesse n’aura pas de prise sur mon âme Merci à vous mes petites chéries Pour votre amour qui me rajeunit L’amour est une étincelle Qui rend ma jeunesse éternelle ©Lucia Galb
Marcher ! Walk
Marcher, c'est aller au bout de soi-même tout en allant au bout du monde. C'est redécouvrir l'homme qui prenait ses jambes à son cou lorsque le ciel lui tombait sur la tête. C'est geler en même temps que les pierres du chemin. Griller au feu du soleil. Partir à l'aube en pleine forme pour revenir sur les genoux en pleine nuit. Marcher, c'est rencontrer des créatures qu'on ne verrait nulle part ailleurs. Marcher, c'est aussi aller nulle part sans rencontrer personne. C'est se mettre en vacances de l'existence. C'est exister en dehors des vacances. Marcher, c'est réussir à dépasser son ombre. C'est pouvoir se doubler soi-même en s'envoyant un gentil salut au passage. Marcher, c'est caresser le sol, le flatter, l'amadouer. Une manière de se mettre la terre dans la poche avant qu'elle ne se referme à jamais. Marcher, c'est être dans le secret des dieux. C'est écouter à leurs oreilles et entendre avec eux des bruissements, des murmures qu'on croyait éteints. Marcher, c'est se mêler à la conversation des arbres, aux commérages des oiseaux, aux persiflages des reptiles. C'est se fondre dans la nature, se couler au fond du moule. Marcher, est-ce que cela ne serait pas, en définitive, tourner avec ses pieds, au pas à pas, page après page, le grand livre de la vie ? Jacques Lanzmann **** Walk is to go to the end of oneself while going to the end of the world. It's rediscovering the man who took to his heels when the sky fell on his head. It is to freeze at the same time as the stones of the path. Grill over the heat of the sun. Leaving at dawn in great shape to return to your knees in the middle of the night. Walk is to meet creatures that you would not see anywhere else. Walking is also going nowhere without meeting anyone. It's taking a vacation from existence. It is to exist outside the holidays. Walk is to succeed in passing one's shadow. It's being able to double yourself by sending each other a nice greeting as you pass. Walk is to caress the ground, to flatter it, to coax it. A way to put the earth in your pocket before it closes forever. Walk is to be in the secret of the gods. It's listening to their ears and hearing with them rustlings, murmurs that we thought were extinguished. To walk is to mingle with the conversation of the trees, the gossip of the birds, the taunts of the reptiles. It's blending into nature, sinking into the bottom of the mould. Walking, wouldn't that ultimately be turning with one's feet, step by step, page after page, the great book of life?
Le manque d’amour de soi
Le manque d’amour de soi
Cet amour fait de bienveillance, de respect
a des conséquences directes sur nos relations avec autrui.
Il se traduit par un manque de confiance, des doutes et de la méfiance
qui vont générer ou entretenir soit des relations à base d’appropriation et de possessivité,
soit des relations de type persécuté-persécutant.
Si je ne m’aime pas, je ne pourrai pas aimer,
puisque je serai dans le besoin et l’exigence d’être aimé.
Dans le manque d’amour de soi, on est toujours,
ou dans le « demander-exigence », ou
dans le « refuser, parce que pas assez ».
Dans les deux cas de figure, on a une grande difficulté à donner.
Lorsque l’on ne s’aime pas,
on pense que l’on n’a rien à donner de valable et d’intéressant,
et lorsque l’on donne, on a le sentiment d’être dépossédé,
par une sorte d’équation inconsciente d’avoir "un moins" en soi.
Jacques Salomé
Noces de Jade
Quand revient la date du jour où nous avons uni nos cœurs Et nos vies pour l’éternité Mon âme retrouve ses premiers émois C’est avec joie que j’ai traversé toutes ces années Près de toi Et pour ta présence , Pour tes bras Qui m’ont soutenue au creux de la vague Comment te remercier ! Si grand est ton amour Constant et sans faille Il me comble toujours autant de bonheur Joyeux anniversaire tendre amour ©Lucia Galb
Voici des mois …
Voici des mois que Je n’ai rien publié sur mon blog Ni commenté les vôtres En fait, j’ai respecté ma « non envie » De dire, de ressentir ou d’analyser Bien que j’aime toujours écrire Exprimer le fond de ma pensée Et jouer avec les mots J’ai besoin de prendre du recul De plus d’intériorité Cependant tous ces mois écoulés Me mènent au triste constat Que la vie n’est que combat Faite de hauts et de bas De vallées sombres, de désert Et de quelques joies passagères Oui combien d’humains crient leur détresse Tout leur « mal d’être » Leur souffrance brise le coeur Et moi, Moi, je suis là, spectateur impuissant Statue de marbre figée Sans mot… Alors,c'est vrai, je choisis le retrait Et j'opte pour le silence © Lucia Galb
Avril
Avril, aux petits matins frileux encore Aux jours pluvieux qui prolongent l’hiver Protège les bourgeons qui peinent à éclore Laisse la belle nature se parer de vert Laisse- la se colorer et donne de la joie Aux oisillons qui dans leurs nids frissonnent Perchés sur les branches ou le haut des toits Sous un ciel noir courroucé et qui tonne Provoquant l'envol des oiseaux affolés Ô Avril ! Donne- nous ardeur et sourire Fais croitre les grains de blés déjà semés Que l’amour renaisse nous irons le cueillir Ô Avril ! Beau mois de la Renaissance Vois les malheureux qui tremblent d’effroi Ouvre grand tes portes à l’Espérance Pour que le monde vive ou renaisse à la foi Lucia Galb
Le printemps est arrivé ! Spring has arrived !
Quand j’ai poussé la grille du jardin L’air était doux, léger ce matin Oh je les attendais ces beaux jours Que la nature prépare avec amour ! Libérées de leurs robes d’hiver Les fleurettes dansent à la lumière Tu m’as invitée à prendre ta main Près de l’allée où pousse le jasmin Nous avons longuement bavardé Traversant les prés couverts de rosée Le vent jouant dans ma chevelure d’or A caressé et pénétré mon corps Il est arrivé ce joyeux printemps Et les oiseaux nous ravissent de leur chant Porté par le zéphyr, le papillon Aux ailes frêles irisées de marron S’enivre du calice des fleurs Goulument s’abreuve de leur odeur Là , ton corps m’étreint et je souris L’un de l’autre, toujours épris @Lucia Galb
When I pushed open the garden gate The air was soft, light this morning Oh I was waiting for these beautiful days That nature prepares with love! Freed from their winter robes The flowers dance in the light You invited me to take your hand Near the alley where the jasmine grows We chatted for a long time Walking towards the dewy meadows The wind playing in my golden hair Caressed and penetrated my body It's come this happy spring And the birds delight us with their song Carried by the zephyr, the butterfly With frail iridescent brown wings Gets drunk on the chalice of flowers Greedily drinks from their scent there your body embraces me and I smile Each other, always in love @Lucia Galb
Le manque !
Le manque « L’humain » est souvent prisonnier d’un sentiment de manque. Manque d’amour, manque de tendresse maternelle, manque du regard paternel, etc… Pour exister à ses propres yeux et aux yeux des autres, il lui faudra plus d’amour. Il peut être déçu, se sentir nul à cause de ce qu’il n’a pas. C’est un mélange d’orgueil et de sentiment de ne rien valoir. Ce sentiment de manque s’accentue dans le temps et fait ressentir la douleur de tout ce qui n’est pas comblé. L’attente de cette manifestation d’amour s’exprime alors par un sentiment de déception, de dévalorisation de soi. Et devient l’objet de sa préoccupation. Comment » l’homme « peut- il sortir de cette ornière ? * Il lui faut, en premier lieu, reconnaître que d’avoir reçu la vie est un cadeau précieux. * Il lui faut réaliser que le don de la vie lui a été donné personnellement. Cela lui appartient. A partir de là, il est lui est possible de développer un sentiment de gratitude, de reconnaissance. Et il peut commencer à bâtir une espérance, se mettre en action. Certes, la vie a pu commencer par une plaie ouverte, un manque. C’est le cas pour beaucoup comme cela put l’être pour moi-même. Il faut donc bien partir de là où nous sommes, ainsi s’approcher de la Source pour y boire. C’est là que Dieu nous rejoint. Il rejoint l’humain dans un amour qui donne à naître. Un amour pour la vie que chaque être porte en soi. Quand notre esprit, notre coeur le saisit, le manque n’est plus au centre de notre préoccupation . Ce qui n’exclura pas les difficultés et les inquiétudes. Mais c’est un point d’appui solide et vrai Nous regardons alors nos manques autrement, ne remettant pas notre existence, ni notre valeur en cause. Mais plutôt comme des plaies à guérir ! Lucia Galb (méditation du jour)
Ce n’est pas …
Ce n’est pas ta belle allure qui m’attire Ce n’est pas ton fric dans ta tire lire Ce n’est pas non plus ce projet un peu fou Auquel tu rêves en disant c’est bien pour nous Ce n’est pas ton intelligence, ni ton savoir Ni ces souvenirs que je garde en mémoire Ce ne sont pas les années passées ensemble Ni les enfants qui très souvent nous rassemblent Non ! Rien de tout cela ne m’attire à toi ! C’est ton cœur que j’aime, qui me met en émoi C’est ton regard posé sur moi au fil des ans Ton amour me remplit, me comble pleinement ! Ce n’est pas la richesse qui fait mon bonheur La gentillesse, l’écoute et la douceur C’est bien cela qui m’attire toujours plus à toi Je t’aime de tout mon être, tu es parfait pour moi ! Lucia Galb
Amour
J’aurai tant voulu t’offrir Pour que la vie ne soit que sourire J’aurai tant voulu donner Pour que les peines te soient épargnées Mais la seule chose que j’ai pu offrir Au cours de toutes ces années Pur et simple, c’est mon amour De tout mon être, je t’ai aimé Comme il est possible d’aimer Doux et tendre amour Ces mots bien éphémères Ne te diront jamais Combien tu es un homme extraordinaire Et quel bonheur de vieillir à tes côtés ! Je t’aime aujourd’hui encore plus qu’hier ©Lucia Galb
La vie est bien trop courte …
La vie est bien trop courte Pour perdre son temps à se faire une place Là où l’on n’en a pas Pour démontrer qu’on a ses chances Quand on porte tout en soi Pour s’encombrer de doutes Quand la confiance est là Pour prouver un amour à qui n’ouvre pas les bras Pour performer aux jeux de pouvoir quand on n’a pas le gout à ça Pour s’adapter à ce qui n’épanouit pas. * La vie est bien trop courte pour la perdre à paraître S’effacer, se plier, dépasser, trop forcer Quand il nous suffit d’être Et de lâcher tout combat Que l’on ne mène bien souvent qu’avec soi Pour enfin faire la paix, être en paix * Et vivre En faisant ce qu’on aime Auprès de qui nous aime Dans un endroit qu’on aime En étant qui nous sommes Vraiment ! Alexandre Jollien
Bonne année 2022! Happy New Year !
Les années qui passent sont comme les pages d’un livre de vie... Chacune des pages est un morceau de notre histoire Qu’il faut tourner délicatement sans l’abimer Cette année 2022 Qui s’ouvre à nous est une page vierge Qu’il faut remplir avec sagesse , amour et harmonie Qu'il faut remplir également d’amitié De beaux partages et de bons mots réconfortants Je souhaite à tous et à toutes une très bonne année 2022 Que l’Amour et la Paix se répandent dans nos cœurs Et s’étendent sur toute la terre Comme l’Amour Divin se répand sur nous ! ©Lucia Galb
The years that pass are like the pages of a book of life ... Each of the pages is a piece of our history That you have to turn gently without damaging it This year 2022 That opens to us is a blank page To be filled with wisdom, love and harmony That must also be filled with friendship Beautiful sharing and comforting good words I wish everyone a very happy new year 2022 May Love and Peace spread through our hearts And spread over the whole earth How Divine Love is pouring out over us!
Il est venu !
Il est venu comme un souffle sans bruit Pour poser un baume sur nos cœurs meurtris Comme la barque engloutie par les flots En sa chair, il engloutira nos maux Et sur son dos portera nos fardeaux De biens, il rassasiera les affamés Son esprit consolera les affligés Envoyé de Dieu appelé fidèle Il nous a unis d’une union fraternelle « La vie ne jaillit pas toute seule le don de la vie est reçu par sa venue » Je vous souhaite de passer un Merveilleux Noël Plein d’amour et de paix. © Lucia Galb
Temps de l’Avent
Ce temps avec son ambiance hivernale Et chaleureuse nous prépare à fêter Noël Une période de festivités pour certains Mais cependant d’une extrême tristesse pour d’autres Il y a tant de désarroi dans ce monde Tant de misère, de solitude Et de chagrin dû à la perte d’un être cher Cette période pourrait devenir une occasion De faire un pas de plus vers les autres Un pas de plus dans la foi Bien sûr à chacun ses convictions Mais nous pourrions soutenir par nos actes Par nos paroles, nos prières ceux qui traversent l’épreuve Ce serait une bonne façon de préparer Noël Nous faisons partie d’un corps qu’est l’humanité ©Lucia Galb
Être à l’écoute
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Tu es précieux(se) pour moi Tu as de l’importance à mes yeux Je vois en toi une bonne personne Ce que tu vis m’intéresse Et j’aimerais être davantage à ton écoute Plus attentive à ce que tu ressens Quand quelque chose te préoccupe Quand l’épreuve de la vie T’inflige trop de souffrance Et que tes émotions sont à fleur de peau J’aimerais pouvoir les accueillir Sans mot dire, sans juger Sans être donneur de leçon Je sais que tu es capable De penser, d’agir par toi-même Toutes ces ressources sont en toi Tu sais quel est le chemin à emprunter Ce qui importe le plus C’est le temps que je t’accorde C’est ma présence près de toi La lumière, l’amour que je répands Même par une écoute silencieuse C’est en apprenant à écouter l’autre Avec bienveillance Avec générosité, qui le grandit Par l’écoute de l’autre Nous nous accueillons nous même Et nous apprenons à ressentir nos propres émotions L'écoute est une richesse A placer au coeur de nos vies ! © Lucia Galb
Un jour de Novembre – Un día de Noviembre
Novembre ! Qu’il fut beau ce jour ! Un jour embrumé et pluvieux L’automne écourtait déjà nos jours Et une épaisse nappe de brume Cachait le paysage montagneux Je me sentais légère comme une plume Sans rien mais le cœur rempli d’espoir Je t’attendais toi sans trop savoir Qu’à jamais, tu changerais ma vie Malgré la grisaille, le temps pluvieux Nous étions partis grimper sur les hauteurs Puis revenus à la tombée de la nuit Comme des enfants transis de froid Près du feu, nous réchauffions nos cœurs Dans la profondeur de tes grands yeux Je m’étais perdue et noyée en toi Je vis la force d’une âme qui aime Depuis ce jour de Novembre, je t’aime ! © Lucia Galb
Noviembre ! ¡Qué hermoso fue ese día! Un día lluvioso y brumoso El otoño ya acortaba nuestros días Y una espesa capa de niebla Escondió el paisaje montañoso Me sentí tan ligera como una pluma Con nada solo un corazón lleno de esperanza Estaba esperando sin saber muy bien Que tu cambiarias mi vida A pesar del clima gris, lluvioso Habíamos ido a subir a las alturas Luego regresó al anochecer Como niños helados de frío al lado del fuego, calentamos nuestros corazones En la profundidad de tus grandes ojos Me perdí y me ahogué en ti Vi la fuerza de un alma amorosa Desde ese día de Noviembre, ¡te amo!
Image par de Pixabay
Dans la nuit sombre …
Dans la nuit sombre et profonde Alors que tout dort autour de lui Les yeux encore bien ouverts Et l’esprit tourmenté Sam cherche en vain le sommeil Sa vie s’éteint peu à peu Comme s’éteignent les lumières Au cœur de la nuit Et la flamme de l’amour Qui autrefois brûlait en son coeur Sombre dans les méandres de l’oubli Mais une lueur a suffi A raviver ce feu et rendre à sa mémoire Les moments de sa vie des plus délicieux Que ne donnerait-il pas pour les revivre encore ! Du fond de son âme affligée et esseulée Un sursaut de joie mêlé de larmes, jaillit Et ses lèvres au goût salé retrouvent La saveur des tout premiers baisers Il repasse ces images dans son cœur, rêvant Et priant que l’amour renaisse Dans tout son être cet amour, il le ressent Sam comprend alors que l’amour Ne peut sombrer dans l’oubli Ancré dans l’âme, il demeure à jamais Et ce jusqu’au dernier soupir ©Lucia GalbImage par adege de Pixabay
Le marcheur solitaire… El caminante solitario
Les feuilles tombent dans un dernier soupir
Ainsi, elles font leurs derniers adieux à la nature
Et sous les pas du marcheur viennent mourir
Ce dépouillement s’accompagne d’un doux murmure
Il suit le sentier comme pour la dernière fois
Réchauffant tout son corps à la pale lumière
Que perce un soleil d’automne au fond des bois
Il pleure sa jeunesse, sa vie de solitaire
La flamme dans ses yeux gris s’est éteinte
Comme un feu de braise déjà consommé
Et les moments partagés dans l’étreinte
De tendresse, eux aussi sont consumés
Il marche encore portant un regard d’envie
Sur ce bonheur dont l’espoir s'évanouit
©Lucia Galb
Las hojas caen en un ultimo suspiro Así, se despiden de la naturaleza por última vez Y bajo las huellas del caminante llegará a morir Este conteo va acompañado de un suave susurro. Sigue el camino como la última vez Calentando todo tu cuerpo en la pálida luz Deja que un sol de otoño atraviese el bosque Llora su juventud, su vida solitaria La llama de sus ojos grises se ha apagado Como una brasa ya consumida Y los momentos compartidos en el abrazo De ternura, ellos también se consumen Sigue caminando con una mirada de envidia Sobre esa felicidad cuya esperanza se ha desvanecido © Lucía Galb
C’est l’hiver dans son coeur ! Es invierno en su corazón
L’hiver s’est saisi de tout son être Et une froideur glaciale le pénètre Comme une lame acérée. II sanglote Tous ses membres tremblotent A bout de tout, à bout de voix Que sont devenus ces jours d’autrefois Son cœur s'est fermé à toute joie Comme un bloc de glace Privé de vie et un rien l’agace L’hiver s’est saisi de sa vie S’agrippant solidement à lui Comme les ronces autour d’un tronc Et ses grands yeux marron Cherchent un soupçon de lumière Qui le sortira de cette ornière Pour le ramener à la vie Pleine de chaleur et sans ennui ? En vain, il tente de se souvenir De s’accrocher à quelques sourires Mais déjà l’hiver est dans son cœur Et ces ténèbres lui font peur Sa peau ne sent plus l’ardeur du soleil Perdu, ses yeux ne voient plus que le Ciel ©Lucia Galb
El invierno se apoderó de todo su ser Y un frio helado lo penetro Como una hoja afilada. El solloza Todas sus extremidades temblando Al final de todo, al final de voz ¿Qué ha sido de esos días en el pasado? Su corazón está cerrado a toda alegría Como un pedazo de hielo Privado de la vida, todo lo molesta El invierno se apodero de su vida Aferrándose fuertemente a él Como espinas alrededor de un tronco Y sus grandes ojos marrones Buscando a un poco de luz ¿Quién lo sacará de esta rutina? Para traerlo de vuelta a la vida ¿Llena de calor y sin aburrimiento? En vano trata de recordarse Para aferrarse a algunas sonrisas el invierno ya está en su corazón Y esta oscuridad lo asusta Su piel ya no siente el calor del sol Perdido, sus ojos solo ven el cielo © Lucía Galb
Ces mots qui résonnent ! These words that resonate
Ces mots qui résonnent dans ta tête Que tu conçois comme une défaite Ces mots qui résonnent dans ton cœur Engendrent toujours la même douleur Comme un(e) moins que rien chassé(e) Ton pauvre cœur loin de ses yeux Incompris s’est senti mal aimé Et ces mots résonnent comme un adieu Où es-tu ? Que fais-tu chaque jour Tes journées sont- elles sereines Ou tout comme moi l’âme en peine Tu erres avec le même poids lourd ? Tu sais tout au fond de ton être Il te reste une lueur d’espoir Quand le Ciel ouvre grands Ses fenêtres Jamais plus l’amour ne peut décevoir ! © Lucia Galb
These words that resonate in your head That you see as a defeat These words that resonate in your heart Always cause the same pain Like a less than nothing, hunted Your poor heart far from his (her) eyes Misunderstood felt unloved And these words sound like a farewell Where are you ? What do you do every day Are your days serene Or just like me, the soul in pain Do you roam with the same heavy weight? You know everything deep in your being You have a glimmer of hope When the Sky opens His windows wide Love can never disappoint again! © Lucia Galb
Ô Septembre ! Ô septiembre !
Ô Septembre, Toi qui vis naitre L’ardeur de mes premiers émois Où sont passés ces jours d’autrefois Quant au petit jour les raies de lumière Furtivement caressaient la chaumière Pour y réchauffer tout mon être ! Souvent cachée derrière le feuillage Je guettais l’aimé arrivant du village Les pieds nus alors vers lui je courais Cédant à mon cœur fou et à ses baisers Qu’est- il advenu de ces bons vieux jours Où la nature teintée de couleurs ambre M’emplissait de ce sentiment d’amour ? Ô Mois, beau mois de Septembre Prolonge encore de mes émois, l’ardeur Ne permet pas qu’en mon cœur Ce ne soit que souvenance Que je garde en moi, de l’amour la brillance ! ©Lucia Galb ♥♥♥
Ô septiembre, Tú que viste el ardor de mis primeras emociones ¿ A dónde se han ido esos días? Cuando al amanecer, Los rayos de luz acarició la casa ¡ Para calentar todo mi ser ! A menudo escondida detrás del follaje Vi al amado venir del pueblo. Descalza, así corrí hacia él Ríndete a mi corazón loco y a sus besos ¿ Qué pasó con esos buenos viejos tiempos? Donde la naturaleza teñida de colores ambarinos ¿ Me llenava de ese sentimiento de amor? Hermoso mes de Septiembre Todavía prolongan de mis emociones, el ardor No permite que, en mi corazón Sea solamente un recuerdo Que guarde en mi, del amor, el brillo ¡ ©Lucia Galb
Bonne rentrée…
Par cet amical message je vous souhaite une bonne rentrée! J’espère que votre retour de vacances n’est pas trop difficile Et que vous avez passé de reposantes vacances J’espère également que chacun de vous retrouvera son rythme imposé par l’activité professionnelle et autres activités Lucia Galb
Le pardon – El Perdon
“Le sage se dépêche de pardonner parce qu’il connaît la vraie valeur du temps et qu’il ne supporte pas de passer ce temps dans des souffrances inutiles» Samuel Johnson
Suite au dernier article « je veux oublier », beaucoup de commentaires ont mis l’accent sur le pardon.
Sachant que c’est une des clés pour être libéré il s’ensuit cette réflexion.
En effet » pardonner » signifie relâcher ou mettre en liberté.
Mais pourquoi pardonner si l’offenseur ne reconnait pas ses torts ?
Quand il y a absence de pardon, amertume et ressentiment gagnent le cœur, rongent de l’intérieur. De plus il y a un énorme gaspillage d’énergie à ressasser, se justifier, tenter de comprendre. On rumine, les pensées tournent en boucle ….Le désir de vengeance peut aussi atteindre une grande intensité, engendrer le pire des sentiments : la haine. Nous souffrons et notre douleur fait souffrir notre entourage.En refusant de pardonner on enlève également à l’offenseur la possibilité d’être libéré et de poursuivre son chemin
Après avoir pardonné est-il possible de vivre une réconciliation ?
La réconciliation n’est pas toujours possible. Certaines personnes ne se remettent pas en question .Il faut beaucoup d’humilité pour reconnaître ses torts, accepter d’avoir blessé l’autre peut être même sans le savoir.
Pardonner n’efface pas la mémoire, ne gomme pas les cicatrices. On peut continuer à souffrir encore car c’est un long cheminement vers la guérison.
Le pardon est la victoire de l’amour, l’avènement d’une paix plus forte que toutes les souffrances.
Lucia Galb
https://lucialuz.wordpress.com/2014/04/06/pardonner-forgive/
El perdón. El sabio se apresura a perdonar porque conoce el verdadero valor del tiempo y no puede soportar pasar ese tiempo en sufrimientos innecesarios "Samuel Johnson Después del último artículo "Quiero olvidar", muchos comentarios se centraron en el perdón. Sabiendo que esta es una de las claves para ser liberados, siguió esta reflexión. En efecto "perdonar" significa liberar o dejar en libertad. Pero, ¿por qué perdonar si el ofensor no admite sus errores? Cuando falta el perdón, la amargura y el resentimiento se apoderan del corazón, mordiéndolo desde dentro. Además, hay un enorme derroche de energía en refrito, justificarse, intentar comprender. Rumiamos, los pensamientos corren en un bucle…. El deseo de venganza también puede alcanzar una gran intensidad, generando el peor de los sentimientos: el odio. Sufrimos y nuestro dolor hiere a quienes nos rodean. Negarse a perdonar también priva al delincuente de la posibilidad de ser liberado y de continuar su camino. Después de perdonar, ¿es posible experimentar la reconciliación? La reconciliación no siempre es posible. Algunas personas no se cuestionan a sí mismas. Se necesita mucha humildad para admitir sus errores, aceptando que has herido a otra persona incluso sin saberlo. El perdón no borra la memoria, no borra las cicatrices. Podemos seguir sufriendo más porque es un largo camino hacia la recuperación. El perdón es la victoria del amor, el advenimiento de una paz más fuerte que todo sufrimiento. Lucía Galb
Je veux tout oublier
Je veux tout oublier Tout le mal qu’on m’a fait Durant trop d’années Un lourd fardeau j’ai porté Par le poids écrasé Mon dos a plié Mon cœur s’est brisé Ma vie a flanché D’être responsable bien sûr on m’accuse Et même si l’on me doit des excuses A tous ces gens je pardonnerai ! Je veux tout oublier Tout le mal qu’on m’a fait De ces vilains maux être libéré Vivre dans la sérénité Et en moi retrouver la paix Je veux tout oublier Tout le mal qu’on m’a fait Avant qu’il ne soit trop tard Avant le grand départ ! ©Lucia Galb
Coupable ! Culpable
Si l'on venait à m’accuser Coupable je plaiderais ! Coupable de n’avoir pas choisi la famille où je suis né D’avoir grandi sans amour et dans la pauvreté D’avoir eu des parents sans le sou et incultes Coupable d’avoir connu trop tôt la rue et les insultes D’avoir fréquenté de mauvaises gens Sans règles, sans valeurs morales ni argent … J’ai toujours été rejeté, malmené, violenté, humilié Coupable, ils m’ont déclaré ! Coupable d’avoir fait des enfants à mon tour Trop d’enfants, à qui je n’ai su donner d’amour Il n’y a pas de place chez nous pour les sentiments Coupables sont toujours les pauvres gens ! Bien sûr j’ai fait des mauvais choix Je n’ai pas toujours obéi aux lois Manques et carences Marqué par l’indifférence Voilà ce de quoi a été faite mon enfance Alors oui sur le banc des accusés Coupable je suis déclaré Et pourtant je suis « innocent » Tellement innocent ©Lucia Galb ♥♥♥ Si alguien me acusara ¡Culpable me declararía culpable! Culpable de no elegir la familia donde nací Creciendo sin amor y en la pobreza Haber tenido padres sin un centavo y sin educación Culpable de haber conocido demasiado temprano la calle y los insultos Por salir con gente mala Sin reglas, sin valores morales ni dinero ... Siempre me han rechazado, maltratado, abusado, humillado ¡Culpable, me dijeron! Culpable de haber tenido hijos a mi vez Demasiados niños, a los que no he podido dar cariño No hay lugar para nosotros para los sentimientos ¡Los pobres siempre son culpables! Por supuesto que tomé malas decisiones No siempre he obedecido las leyes Carencias y deficiencias Marcado por la indiferencia De esto está hecha mi infancia Entonces sí en el muelle Culpable soy declarado Y sin embargo soy "inocente" Tan inocente © Lucía Galb
Le silence !
Le silence m’a enveloppée D’un beau manteau vert et douillet Peu à peu les voix se sont tues Les regards durs ont disparu Proche et à la fois si loin de tout Mon cœur amoureux se rit de tout Bercé par des chants mélodieux Où la nature offre tant aux yeux Le ciel me sourit dès mon réveil Inonde mon âme au petit jour Le cœur comblé par tout cet amour Médite sur toutes ces merveilles Ô Terre, Terre ! Dieu que tu es belle Tu as apaisé mon coeur rebelle ! ©Lucia Galb
Un rêve étrange ! Un sueño extraño
Je fais souvent ce rêve étrange D’une inconnue qui lui ressemble Parfois, son apparence et son air me dérangent D’autres fois, nous sommes si bien ensemble Quand au creux de mon épaule Dans mes rêves se pose cette tête inconnue De mon angoisse, je n’ai plus le monopole Je me sens comme prise au dépourvu Parfois c ‘est son regard doux et bienveillant Qui trouble et touche mon âme Un regard tendre qui dit, je t’aime maman Je voudrais tant alors retenir cette femme ! ©Lucia Galb
A menudo tengo este extraño sueño De una extraña que se parece a ella A veces sus miradas me molestan Otras veces somos tan bien juntas Cuando en el hueco de mi hombro En mis sueños esta cabeza desconocida De mi angustia ya no tengo el monopolio Me siento sorprendida A veces es su mirada dulce y benevolente Que me perturba y me toca mi alma Una mirada tierna que dice te amo mamá ¡Así que me gustaría quedarme con esta mujer!
Mon coeur fragile …
Mon cœur fragile comme les ailes de l’oiseau
Que brisent les courants
Bat au rythme des jours voilés de nuages
Des jours maussades et solitaires
Que seul le vide remplit de son air
Dans un ciel immense planent mes idées
Et tout droit, tombent dans l’abime du silence
Mon soleil s’efface puis disparait
Déployant ses larges rayons vers un autre jour
Pourtant j’avais vu de la joie dans tes yeux étoilés !
©Lucia
Il est des douleurs…
Il est des douleurs
De celles qui vous brisent
Qui , de joie vous privent
Et rongent votre esprit !
De celles que l’on porte en soi
Qui saignent et ne se voient pas !
Nul ne peut comprendre
Nul ne peut apaiser
Ces douleurs là sont si personnelles
Fonction du seuil limite propre à chacun
Certains vous diront qu’ils ont une force
Intérieure pour les combattre
C’est tout à leur honneur !
D’autres différents habitent leur douleur
Certes, ils sont vivants
Paraissent joyeux en surface
Bien qu’à l’intérieur, ils soient meurtris
Gardant au fond du cœur la douleur captive
Une plaie toujours ouverte, vive
Ils en sont presque complices
Comme avec un animal qu’on apprivoise!
Ne soyez pas trop critiques envers ceux qui souffrent
Quand vous ignorez de quoi demain sera fait
Le malheur pourrait bien vous atteindre
Et, à votre tour ne cesseriez de geindre !
©Lucia Galb
Pensée sur l’Amour – Thought of Love
English translation after French version
L’amour doit fleurir à l’intérieur de soi
Pour pouvoir se répandre
C’est quand je me retrouve moi –même
Dans un état de profonde plénitude
Quand mon cœur est pleinement rempli
De l’Amour Inconditionnel
Que je peux vraiment aimer
C’est comme une coupe remplie qui déborde
Alors Aimer est le plus beau cadeau que je puisse offrir
Sans aucune attente de l’autre
Et c’est ainsi qu’il me viendra en retour
Je profite pour vous souhaiter de bonnes vacances
Dans la paix et dans l’amour
Il est temps pour moi de faire une pause
Lucia Galb
***
Love is blooming inside Yourself
To spread
When I found myself
In a deep state of fullness
When my heart is filled
Of unconditional love
Then, I can love
It’s like a cup overflowing
Love is the greatest gift that I can offer
Without waiting for the other
And so, it comes back to me in return
It is time for me take a break
I wish you good holidays
With Peace, Light and Love
Tu m’as aimée le premier
J’ai longtemps nié ton existence
L’idée que Tu pouvais être bon pour moi
Dépassait mon intelligence
Pourtant, souvent Tu as frappé
A la porte de mon cœur
Je ressentais alors quelque chose d’étrange
Une agitation intérieure inexplicable
Au tréfonds de tout mon être
Je comprenais bien que c’était surnaturel
Mon orgueil me laissait sourde à cet appel
Je sombrais peu à peu
Dans un grand trou noir…
Du vide tout autour
Du vide surtout en moi !
Par Amour,
Tu as toujours fait le premiers pas
Avec tendresse, Tu t’es approché de moi
Ton Oreille attentive entendait
Ces cris étouffés sortant de ma poitrine
Tu m’as tirée des griffes de la mort
Comme une mère douce et tendre
Comme un Père aimant et protecteur
Tu m’as consolée, restaurée et relevée
Mettant un baume sur mes plaies
Tu m’as appelée « fille bien-aimée »
Ô Dieu ! C’est Toi qui m’as aimée le premier !
Et moi, je n’ai plus cherché à fuir Ton Amour
Par Toi et en Toi je Vis !
Lucia
J’aime te regarder
J’aime te regarder
De mes lèvres, effleurer ton front
Plissé par les années
J’aime quand ma main glisse
Dans tes cheveux lisses
Oh ! Quel bonheur profond
De ressentir toujours
Cette vive émotion
Quand dans tes yeux gris vert
Un peu plus, je me perds
J’y vois un océan d’amour
J’aime te regarder
Et me sentir encore troublée
Quand tes mots m’invitent
Que tes bras forts m’abritent
J’aime me laisser bercer
Par ces étreintes douces
Qui hors du monde, me poussent
Je voudrais suspendre le temps
Sceller ces doux instants
Tout près de toi, vieillir
Te regardant sourire !
Lucia Galb
Novembre
Déjà Novembre, le ciel se couvre de brumes
Au loin, l’oiseau s’envole laissant tomber ses plumes
Légères comme ces feuilles qu’emporte le vent
Son souffle froid perce l’air rageusement !
Au cœur de la forêt, la belle nature s’endort
Offrant des feuilles roussies et du bois mort
Craquements sous les pas alertes du chasseur
Son tir atteint le cerf qui aux pieds du chêne, meurt
La pluie comme des larmes coulent sur le pavé
Celles que déverse le ciel maintenant courroucé
Mon âme s’imprègne d’une langueur inexpliquée
L’hiver frôle mon corps, si loin est l’été !
Je perçois derrière la vitre de ma chambre
Ton sourire qui réchauffe ce froid de Novembre
©Lucia
Je te rencontrerai
Mon amour, dès l’aube je te rencontrerai
Libre comme l’oiseau dans son envolée
Légère comme l’ange aux ailes déployées
Dans le clair azur nos regards plongeront
Vers d’inconnus rivages nous voguerons
Bercés d’espoir d’un nouvel horizon
Sans ombrage, où l’amour n’a pas d’âge
Au gré des vents, nous irons sans bagage
Tels de jeunes amants épris de voyage
Emportés par l’ivresse, nos corps danseront
Et d’éclats de rires nos cœurs déborderont
Amour, ensemble sans regret, nous vieillirons
Lucia Galb
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