Le tic- tac de l’horloge scande les heures
Les minutes et les secondes s’évanouissent
Dans les brumes du temps où s’épanouissent
Vers la fin du jour, les dernières lueurs
Le ciel s’est paré d’un voile invisible
Où s’accrochent alors les premières ombres
Pleines de mystère et qui émergent sans nombre
De nulle part avec des sons inaudibles
La lumière fond dans les cieux recouverts
D’obscurités ténébreuses où la vie
Y est comme suspendue loin de tout bruit
Le silence surgit parcourant la terre
Le tic-tac de l’horloge marque les heures
Les brumes de l’aube s’éloignent et s’évaporent
Avec les lueurs du jour qui se dore
De feux nouveaux, la vie nait en son coeur
© Lucia